En effet, le choix stratégique de Brillard et Choin de produire en France a été un choix payant. Un grand nombre de chantiers de nos clients ont été reportés voir annulés, à cause de l’incapacité des concurrents étrangers à livrer les pylônes dans les délais courts demandés (pandémie en Italie, Espagne, mesures douanières…). La crise sanitaire a été une opportunité fabuleuse que Brillard et Choin a su saisir pour démontrer la vertu de son modèle « made in France » (en résonance avec les démarches gouvernementales de relocalisation des secteurs stratégiques) en livrant ses clients avec un taux de service proche de 100%.
En effet, le développement du marché du véhicule électrique a 3 effets principaux sur la consommation d’énergie : le besoin couvre tout le territoire français, le besoin en énergie lié au rechargement des batteries est important et le besoin est réel toute l’année . C’est pourquoi, le développement du marché en pylônes 63-90 kv sur tout le territoire va être important et rapide.
En effet, l’enfouissement des lignes ne concerne que les lignes moyennes et basses tensions (220v à 20kv) et principalement en agglomération. L’enfouissement des lignes haute et très haute tension (63kv à 400 kv) est techniquement très complexe et nécessite des investissements colossaux que les ménages ne sont assurément pas prêts à supporter sur leur facture d’électricité. Une ligne enterrée peut coûter jusqu’à dix fois le prix d’une ligne aérienne. Mais il faut également savoir que si les lignes enterrées sont à l’abri des tempêtes, elles ne le sont pas des inondations, ni des glissements de terrain. Elles réclament, en outre, une surveillance et un entretien plus complexes, des dépannages plus fastidieux, sans compter le rejet des propriétaires qui se trouvent par malheur sur le tracé d’un enfouissement.
